Le bruit de mes pas
Le bruit de mes pas faisais crisser les feuilles séchés
sur le chemin de foret , Je marcher seule, là
Je ne s’avais pas ou je me trouvais exactement
Mon nom et inconnu
Je ne connais ,ni mon visage, ni mon image, je n’étais rien…………
Pourtant j’étais bien là ici à marcher lentement .
vers un lieu que je ne connaissais pas
Qui suis-je ?
Je regarde le ciel, il était gris prés à déverser sa pluie et faire hurler ses fracassants tonnerres
Je devais trouver un lieu ou m’abriter un lieu ou réfléchir
A cette personne que je suis
Que je ne connais pas
Juste un gout,
un parfum,
une musique et les souvenir reviennent bousculer ma mémoire
Il y avait un soleil strident , réconfortant en ce lieu ou je suis née au son des musiques tunisiennes
Un lieu simple. Ou l’amour unis de mes parents , leurs yeux aimant ont offert la vie
Cette vie Qui aujourd’hui hurle et crie
qui et tu toi ma vie ?
Qui et tu toi marie?
Un jour un bateau traversant les vagues gigantesques évitant un naufrage
Ma mener jusqu'à ce rivage la France, le sud.
J’ai posé mon pied ce petit pied d’une enfant de un an qui ne s’avait pas
Et je continu de marcher….. Les feuilles des arbres tombes l’automne et là
Cette enfants c’étais moi
La main de mon père serrer dans la mienne il ma menée longtemps avec protection et amour
Jamais il ne lâcha cette petite main même l’osque je fus devenu une femme avec sa vie cassée et brisée
Il était là
Aujourd’hui seule sans lui je ne sais plus qui je suis.
Comme la forêt de la vie et immense et vide et comme l'automne et glacé sans toi papa
Le bruit de mes pas, hésitant et perdu, ce silence sans ta voie que je n’entends plus
Je ne suis plus et ne serais plus jamais la même sans toi.
Je ne suis que cette enfant qui a grandi vieillie avec des blessures que j’ai supporté.
Endurer avec force prenant exemple sur toi papa toi l’homme fort et merveilleux.
Et aujourd’hui je n’ai plus cette force elle et partit avec toi
Je ne sais plus qui je suis ni ou je vais
La forêt de ma vie et triste à pleurer
Le chemin et humide de larmes verser
Sous le ciel de l’automne perdu je vais