l'oiseau lyre
l'oiseau lyre
Quant ta voix, céleste prélude
Aux silences des belles nuits,
Barde ailé de ma solitude
Tu ne sais pas que je te suis
Même si l'astre des nuits se penche
Aux bords des monts pour t'écouter,
Tu te caches de branche en branche,
Comme si tu voulais l'imiter.
Ah ! ta voix touchante ou sublime
Est trop pure pour ce bas milieu
Cette musique qui t'anime
Est un instinct qui monte à Dieu